Depuis les années 1970, les groupes autochtones se mobilisent dans la métropole québécoise pour se rendre visibles les uns aux autres et pour mettre en valeur leur culture.
Entre 1887 et 1911, le centre-ville de Côte-Saint-Paul se dote de plusieurs bâtiments remarquables. Dessinés par des architectes de renom, ils sont le signe de l’expansion de ce secteur de Montréal.
Inaugurée en 1923, l’École des beaux-arts de Montréal offre une formation publique et professionnelle dans le domaine des arts. Elle comble ainsi un criant besoin, économique comme politique.
Fondé au XVIIe siècle, puis établi en 1861 dans le futur quartier Milton Parc qu’il a fortement marqué, l’Hôtel-Dieu a été au service de la santé des Montréalais pendant près de 380 ans.
La fin du XIXe siècle voit l’entrée des Montréalaises à l’université. Plusieurs étapes ont mené à ce succès soutenu par la grande bourgeoisie, notamment les Molson et particulièrement Anne Molson.
Fondé en 1968, le Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles est depuis au cœur de la vie communautaire du quartier.
Depuis 1972, le Centre N A Rive aide des immigrants, originaires d’Haïti et d’ailleurs, à s’intégrer à la société montréalaise, en appliquant les principes de l’économie sociale et solidaire.
La population chinoise immigrante à Montréal a augmenté de façon vertigineuse depuis les deux dernières décennies. En 2016, elle constituait 5,1 % de l’ensemble des immigrants récents.
Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.
On doit à Augustin Frigon, ingénieur en génie électrique méconnu, la création de la station CBF-Montréal, le réseau francophone de la société publique Radio-Canada alors toute nouvelle.