Pendant la première moitié du XXe siècle, le Quartier latin a constitué l’un des principaux foyers intellectuels de l’Amérique française. Il a renoué avec ce dynamisme culturel dans les années 1970.
Ancienne chapelle du collège Sainte-Marie, lieu de prière, de pèlerinage, d’art et de théâtre, le Gesù est aussi le dernier vestige témoignant de la présence jésuite au centre-ville de Montréal.
Appartenant à la « génération 1.5 » d’immigrants, Shu De He a grandi toute sa vie entre deux cultures.
Créé en 1861, l’Institut Nazareth offre éducation et hébergement aux personnes aveugles de Montréal. Premier établissement de ce type au Canada, il laissera sa marque dans le paysage de la ville.
« Par chez-nous » est une invitation à découvrir et redécouvrir la diversité des quartiers montréalais au travers des histoires des personnes originaires d’Amérique latine qui y habitent. Ici, l’histoire d’Andrea et Jesús.
Le documentaire Une bonne élève souligne la volonté de réussite d’une résidente permanente d’origine mexicaine dans une classe de francisation de Montréal.
Depuis trois générations, une famille venue du Venezuela fait vivre, à Montréal, la musique folklorique de son pays d’origine. Elle y a fondé des groupes musicaux, mais aussi une école.
Ayant quitté ses Açores natales en 1958, José-Louis Jacome commence une tout autre vie à Montréal. Il a huit ans et découvre l’hiver, l’hostilité, mais aussi la modernité et l’abondance.
Manuelita Del Vayo serait la première personne colombienne établie à Montréal. Depuis les années 1930, de nombreux compatriotes l’y ont suivie.
Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.