La famille Di Lallo a rendu bien des services à Ville-Émard, son quartier d’adoption. Ces immigrants italiens y ont créé, entre autres, un fameux restaurant et une équipe de hockey de renom.
Sur l’île Bizard, où se trouvaient les meilleures terres agricoles de la région montréalaise, la production laitière allait de soi. En 1851, les fermes y produisaient 13 020 livres de beurre!
L’organisme Logexpo a été le motif de multiples plaintes, critiques et moqueries, et même d’une enquête provinciale. Son but, fort louable, paraissait pourtant assez simple.
Fraichement arrivé de Belgique, Auguste-Joseph de Bray lance, en 1910, le premier programme universitaire canadien en sciences commerciales. L’École des hautes études commerciales de Montréal est née.
Proposant des aliments aux accents latino-américains, l’épicerie Los Andes, rebaptisée Sabor Latino, se trouve au cœur d’un secteur de Montréal surnommé la Petite Amérique latine.
En 2009, l’association du Petit Maghreb signe une entente avec la mairie d’arrondissement qui permet de rêver à la création d’un premier quartier maghrébin en Amérique du Nord.
Qu’ils soient ouvriers saisonniers ou permanents, les immigrants italiens du début du XXe siècle ont besoin d’un logement transitoire, le temps de bâtir leurs assises à Montréal.
L’installation des Péruviens à Montréal est récente, et ils font encore face à des obstacles économiques. Cependant, ce groupe est déjà très dynamique sur la scène culturelle de la métropole.
À la fin du XIXe siècle, Jos Song Long et sa buanderie intriguent les Montréalais : il est le premier immigrant d’origine chinoise à établir un commerce dans la ville.
Depuis le XIXe siècle, les immigrants chinois ont transformé à leur façon le paysage culturel de Montréal.