Personnage haut en couleur de la bourgeoisie francophone montréalaise, Ucal-Henri Dandurand a possédé des édifices à l’image de son statut social ou de ses goûts d’avant-garde.
Deux familles — l’une d’origine anglaise, l’autre d’origine américaine — s’uniront et contribueront largement à modeler le visage du Plateau Mont-Royal, pendant quatre générations.
Trois générations de Beaubien ont contribué à modeler le visage actuel du Plateau Mont-Royal. La famille a également joué un rôle essentiel dans la création et le développement d’Outremont.
La fin du XIXe siècle voit l’entrée des Montréalaises à l’université. Plusieurs étapes ont mené à ce succès soutenu par la grande bourgeoisie, notamment les Molson et particulièrement Anne Molson.
Dès la fin du XIXe siècle, le charme de Pointe-Claire attire bien des vacanciers montréalais. Là, ils profitent de clubs de navigation, de terrains de sport, mais aussi, admirent les premiers avions.
L’effervescence industrielle de Montréal attire plusieurs grands gestionnaires des États-Unis. Leurs traces sont encore perceptibles dans le patrimoine bâti ou la toponymie.
Peu connu, l’homme d’affaires Victor Hudon a cependant joué un rôle important dans le développement de l’industrie cotonnière du Canada au XIXe siècle, et a grandement participé à l’essor d’Hochelaga.
Fondé au XIXe siècle par huit musiciennes, ce club anglophone était réservé aux femmes. Toujours actif, il attire aujourd’hui les amateurs de musique classique sans distinction de langue ou de sexe.
Parmi les magnifiques villas du XIXe siècle qui subsistent à Montréal, figure la maison William-Notman. De style néoclassique, elle fut achevée en 1845 selon les plans de John Wells.
Tout près de l’édifice Allan, au 333, rue de la Commune Ouest, un John Young de bronze veille sur ce secteur où les navires mouillaient autrefois par dizaines. Un honneur bien mérité.