Bien implantées dans leur milieu, les maisons de la culture de Montréal travaillent depuis 40 ans à resserrer le tissu social dans les quartiers où elles se trouvent.
Accessibles et audacieuses, les maisons de la culture de Montréal sont, dès les années 1980, des lieux innovants de démocratisation culturelle.
Au début des années 2000, après 20 années d’existence, de grandes transformations attendent le réseau des maisons de la culture. Plus que jamais, l’objectif est de démocratiser l’accès à la culture.
En 1981, une première maison de la culture ouvre ses portes à Montréal dans l’objectif de rendre la culture plus accessible dans les quartiers de la ville.
Montréal compte l’un des plus importants programmes de jardins communautaires au monde. Nés d’initiatives citoyennes, ils permettent à des milliers de citoyens de cultiver un lopin de terre en ville.
De 1959 à 1984, la police de Montréal assure à nouveau le service d’ambulance. Le transport des patients prend une telle ampleur qu’on dit alors que ses agents sont plus ambulanciers que policiers!
À Montréal, on exerce le métier de policier depuis 1865. Durant les décennies qui ont suivi la création du Département de police, cette activité s’est fortement professionnalisée.
Avant que ne soit créé un service de police municipal indépendant, la sécurité dans Montréal était assurée par diverses organisations, officielles, mais plus ou moins efficaces.
Les critiques portées contre la police de Montréal dès les années 1940 culminent lors de l’enquête Caron. La professionnalisation du métier de policier règlera progressivement plusieurs problèmes.
Dans les années 1940, Pacifique Plante, à la tête de l’escouade de la moralité, entreprend de nettoyer en profondeur le Montréal interlope. Après son scandaleux renvoi, il riposte avec brio.