À l’occasion de l’Année sainte, en 1950, Monseigneur Léger dirige une émission radiophonique quotidienne pendant un mois. Plus de 30 000 auditeurs réclameront la prolongation de cette émission.
Acteur, chroniqueur à Radio-Canada international, co-fondateur du festival Vues d’Afrique, et plus encore, Ousseynou Diop a largement contribué à établir des ponts entre Montréal et le continent africain.
On doit à Augustin Frigon, ingénieur en génie électrique méconnu, la création de la station CBF-Montréal, le réseau francophone de la société publique Radio-Canada alors toute nouvelle.
Le Montréalais d’origine libanaise Muhammad Saïd Massoud a mené un combat de près de 30 ans pour faire valoir les intérêts des Arabes, notamment ceux des Palestiniens.
Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.
Journaliste, chroniqueur, écrivain, spécialiste de la scène nocturne, Al Palmer a participé à la légende de Montréal, la ville dont il était amoureux.
Avocat puis directeur adjoint de la police, l’incorruptible Pacifique Plante s’attaque dès les années 1940 au Montréal interlope et à la corruption. Cette lutte lui coûtera cher.
Athlète de haut niveau, Myrtle Cook passe de la compétition au journalisme en prenant la plume dans un journal montréalais. Sa chronique, publiée dès 1929, porte sur les femmes et le sport.
Disparu trop tôt, Robert Gravel, comédien hors du commun, a contribué à l’évolution de la pratique théâtrale au Québec et a cocréé la Ligue Nationale d’Improvisation.
De 1884 à 1894, Jules Helbronner signe plus de 323 éditoriaux consacrés à la classe ouvrière. Il dénonce les mauvaises conditions de vie et de travail ainsi que la forte dépendance envers le patronat.