Contacter les pompiers rapidement n’était pas chose facile avant l’invention du téléphone. L’apparition de la boîte d’alarme à Montréal, en 1863, constitue une véritable révolution.
Fait de papier, mais durable, le « sac à Tousignant » est un souvenir des épiceries de quartier indépendantes du même nom, où les Montréalais ont magasiné de 1916 à 1966.
De nombreux bâtiments montréalais possèdent toujours leurs plaques d’adresse émaillées bleu et blanc. Apparues au début du XXe siècle, elles sont aujourd’hui en voie de disparaître.
Ce crochet mural est tout ce qui reste d’un immeuble qui était situé sur le boulevard Dorchester Ouest et qui a été démoli vers la fin de 1968, dans le cadre de l’élargissement du boulevard.
Ce napperon d’un restaurant très populaire de la rue Sainte-Catherine Ouest a été donné par une famille ontarienne qui ne manquait jamais d’aller manger dans cet établissement lors de ses visites annuelles à Montréal.
Le Centre d’histoire de Montréal dispose de deux objets représentatifs de la fameuse marque de pâtes montréalaise Catelli.
Depuis 1809, la colonne Nelson affronte quotidiennement les intempéries et les critiques politiques. Pour certains Montréalais, elle symbolise en effet l’impérialisme britannique du XIXe siècle.
Le Centre d’histoire possède une maquette du Parc olympique réalisée vers 1975. Abandonnée pendant plusieurs années dans un entrepôt, elle a été sauvée d’un grand ménage par un contremaître avisé.
Cette émouvante valise contient le trousseau de mariage d’une Italienne venue à Montréal avec ses trois enfants pour y rejoindre son mari et y immigrer.
Au Centre d’histoire se dresse une colonne de fonte, cannelée et surmontée d’un chapiteau corinthien. Cette rescapée d’un incendie témoigne du Montréal industriel du XIXe siècle.