Dans la plus ancienne manufacture du Quartier chinois de Montréal toujours active, la famille Lee produit des aliments chinois depuis plus de 75 ans, mais elle a débuté dans le secteur en 1897.
De 1946 à 2000, le restaurant Ho Ho a été un lieu renommé pour les immigrants chinois, qui pouvaient y célébrer leur culture et y tisser des liens avec les membres de la communauté.
En 1984, une école du Plateau devient un lieu d’ancrage culturel et politique pour la communauté lesbienne. Cet effervescent laboratoire social appuie ainsi une forme de résistance.
Le Plateau-Mont-Royal a vibré au rythme des bars lesbiens dans les années 1980. Une communauté lesbienne dynamique s’y est formée, puis développée, avant d’évoluer vers d’autres secteurs de Montréal.
Œuvrant au sein de la communauté sino-cambodgienne de Montréal, l’ACCC s’est adaptée à l’évolution des besoins de ses membres, allant du soutien aux réfugiés à la transmission culturelle.
Chef-d’œuvre du style Beaux-Arts à Montréal, la Bibliothèque Saint-Sulpice a abrité la Bibliothèque nationale du Québec de 1967 à 2005. Longtemps inoccupée, elle retrouvera son éclat d’antan.
À la fin des années 1970, des milliers de réfugiés vietnamiens s’installent à Montréal. Dès lors se construit une complexe relation avec le Quartier chinois.
Construite en 1905, la rotonde du CN, énorme atelier ferroviaire circulaire, a longtemps été l’un des pôles de l’activité économique du quartier Saint-Henri.
Les Tanneries, village des Tanneries, Tanneries-des-Rolland, Saint-Henri-des-Tanneries… Pendant près de 200 ans, l’actuel Saint-Henri a porté un nom lié au travail du cuir qui y avait cours.
Fondée il y a plus de deux siècles grâce à un don de James McGill, l’université McGill est alors précurseure dans bien des domaines. Son expansion lui a assuré une notoriété internationale.









