Au début du XXe siècle, la Canadian Tube & Steel Company, établie à Ville-Émard, contribue à l’essor industriel et résidentiel du quartier.
Les berges de l’île de Montréal ont été grandement transformées par le développement portuaire et l’urbanisation. Des pressions citoyennes ont toutefois permis d’en revitaliser certaines portions.
Quartier industriel vibrant à la fin du XIXe siècle, la Petite-Bourgogne a hébergé plusieurs communautés culturelles au cours de son histoire.
Territoire agricole puis zone industrielle marquée par le chemin de fer, La Petite-Patrie, quartier du marché Jean-Talon et de la Plaza St-Hubert, invite à découvrir sa riche histoire.
La maison Déloche, érigée en plein cœur de l’ancien village Saint-Augustin, figure parmi les plus anciennes résidences du secteur qu’on appelle aujourd’hui « Saint-Henri ».
En 1851, le canal de Lachine, premier maillon d’une chaîne de canaux reliant l’océan Atlantique et les Grand Lacs, fait de Montréal la principale porte d’entrée vers l’intérieur du continent.
Au XXe siècle, un inexorable déclin marque Griffintown : la population quitte les taudis tandis que l’industrie s’essouffle. Pendant les années 1990 s’amorce pourtant un spectaculaire retour à la vie.
Créée en 1872, la filature de Victor Hudon restera toujours pour les gens de Hochelaga « la Hudon », malgré plusieurs fusions. Il est vrai qu’elle a marqué l’histoire industrielle du quartier.
À partir des années 1870, le village d’Hochelaga s’industrialise rapidement et le manque de logements est criant. La filature Hudon construit donc des habitations, principalement pour sa main-d’œuvre.
Domaine agricole sous le Régime français, Griffintown devient un des pivots de l’industrialisation montréalaise au XIXe siècle. C’est seulement une des étonnantes transformations qu’il a connues.