Édifié au cœur de Milton Parc en 1900, l’édifice Marlborough était destiné à la location haut de gamme. Son style Queen Anne devait charmer les bourgeois montréalais en quête d’un pied-à-terre.
Parmi les magnifiques villas du XIXe siècle qui subsistent à Montréal, figure la maison William-Notman. De style néoclassique, elle fut achevée en 1845 selon les plans de John Wells.
Véritable cité dans la ville, le Village olympique a vibré au rythme des Jeux de 1976. Ses pyramides à l’architecture audacieuse sont un souvenir précieux de cet événement marquant.
Personnage haut en couleur de la bourgeoisie francophone montréalaise, Ucal-Henri Dandurand a possédé des édifices à l’image de son statut social ou de ses goûts d’avant-garde.
Au cours des années 1960 et 1970, les familles portugaises sont nombreuses à élire domicile sur le Plateau Mont-Royal. Encore 13 % des Montréalais d’origine portugaise y vivent en 2011.
À partir des années 1870, le village d’Hochelaga s’industrialise rapidement et le manque de logements est criant. La filature Hudon construit donc des habitations, principalement pour sa main-d’œuvre.
Répondant à un besoin criant de logements, le gouvernement canadien favorise, dès 1941, la construction de petites maisons préfabriquées, qui vont transformer certains quartiers du Sud-Ouest.
Contribuant à résoudre la grave pénurie de logements de l’après-guerre, la vaste coopérative de Saint-Léonard est à l’origine d’une nouvelle banlieue et marque l’avènement d’un mode de vie.
La maison Déloche, érigée en plein cœur de l’ancien village Saint-Augustin, figure parmi les plus anciennes résidences du secteur qu’on appelle aujourd’hui « Saint-Henri ».