En 1904, à l’ouverture des usines Angus dans le futur Rosemont, 3000 ouvriers entrent au travail. Leur logement intéresse les investisseurs, notamment le promoteur immobilier Ucal-Henri Dandurand.
En 1925, marcher sur la rue Notre-Dame Est, de Saint-Laurent à Berri, c’était découvrir la Petite-Syrie, authentique cœur de la vie commerciale et culturelle de la communauté syro-libanaise.
Dans la ruelle Saint-Éloi, une brève fouille de sauvetage a mis à jour un site archéologique aussi riche que minuscule. Les analyses ont révélé qu’il est un des plus anciens sur l’île de Montréal.
La rue Saint-Hubert, active dès le début du XXe siècle, voit naître la Plaza St-Hubert en 1954. Véritable centre commercial à ciel ouvert, celle-ci est dotée de sa fameuse marquise depuis 1984.
La plupart des Montréalais qui se souviennent du stade De Lorimier ont en tête les matchs de baseball des Royaux, mais ce lieu a accueilli de nombreux évènements, comme un étonnant rodéo en 1946.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des grands-parents témoignent de ce qui les unit à leurs petits-enfants. Ici, le témoignage de Manuel Vasco.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des grands-parents témoignent de ce qui les unit à leurs petits-enfants. Ici, le témoignage de Manuela Marujo.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des petits-enfants racontent ce qui les unit à leurs grands-parents. Ici, le témoignage de Tania Carreira.
Depuis 1809, la colonne Nelson affronte quotidiennement les intempéries et les critiques politiques. Pour certains Montréalais, elle symbolise en effet l’impérialisme britannique du XIXe siècle.
Au Centre d’histoire se dresse une colonne de fonte, cannelée et surmontée d’un chapiteau corinthien. Cette rescapée d’un incendie témoigne du Montréal industriel du XIXe siècle.