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Affichage 1 à 10 de 18 résultats pour le terme de recherche "quartier chinois".
Petit théâtre d’opéra chinois avec neuf figurines

Liée à l’entreprise Wing, à deux édifices patrimoniaux et à la communauté du Quartier chinois, la collection Wings révèle une histoire socioéconomique de Montréal. Mais son avenir est incertain.

Photo couleur montrant des travailleurs et des travailleuses dans une usine de fabrication d’aliments chinois.

Fondé en 1948, Aliments Wong Wing est le plus grand fabricant de mets chinois en Amérique du Nord. Sa prospère histoire a toutefois été durement marquée par les expropriations des années 1970.

Photo couleur de l’intérieur d’un casse-croûte avec le comptoir et les banquettes orange.

De 1946 à 2000, le restaurant Ho Ho a été un lieu renommé pour les immigrants chinois, qui pouvaient y célébrer leur culture et y tisser des liens avec les membres de la communauté.

Édifices sur la rue Craig (aujourd’hui Saint-Antoine), dont la buanderie Song Long.

À la fin du XIXe siècle, Jos Song Long et sa buanderie intriguent les Montréalais : il est le premier immigrant d’origine chinoise à établir un commerce dans la ville.

George Glicakis dans son salon de barbier

Dans Parc-Extension, des générations d’hommes et de femmes de diverses origines ont construit leur histoire montréalaise au quotidien.

Une femme, de dos, tient son bébé qui est assis sur un muret dans la cour derrière le triplex familial. Une voisine le regarde.

Ancienne fonctionnaire municipale, mais aussi militante, Joaquina Pires dévoile les traces laissées par la communauté portugaise dans le quartier Saint-Louis. L’esprit du lieu est-il au rendez-vous?

Photo couleur d’une femme souriante en plan rapproché, prise à l’extérieur.

Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.

Quatre femmes souriantes sont assises à des tables dans une classe.

Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.

Barbara Hasiotis posant dans une église

Souvent oubliées des récits d’immigration et d’intégration, les femmes grecques contribuent depuis leur arrivée à Montréal au développement de leur communauté et de leur famille.

Dix-sept personnes sont assises en cercle, à l’extérieur, sur des chaises pliantes. Une femme ouvre un sac-cadeau.

Depuis 1972, le Centre N A Rive aide des immigrants, originaires d’Haïti et d’ailleurs, à s’intégrer à la société montréalaise, en appliquant les principes de l’économie sociale et solidaire.