Imaginez un décor forestier, des murs de pierre, vieux de plus de trois siècles, en ruine... Difficile à croire, mais une telle scène existe bel et bien à l’abri des regards sur l’île de Montréal!
Comment, au début du XVIIIe siècle, de jeunes Anglo-Américaines, les sœurs French, se retrouvent-elles à Montréal, alors territoire ennemi?
À deux reprises, à 157 ans d’intervalle, le site Dawson, situé au centre-ville de Montréal, a révélé des vestiges du seul village des Iroquoiens du Saint-Laurent retrouvé sur l’île.
Témoins des premiers établissements français, les alentours de la maison d’Étienne Nivard de Saint-Dizier ont révélé un des principaux sites archéologiques autochtones de l’île de Montréal.
Qui étaient les Hochelaguiens rencontrés par Jacques Cartier en 1535 sur la future île de Montréal? Iroquoiens du Saint-Laurent, ils faisaient partie d’un vaste ensemble culturel.
Comment vivaient les Autochtones qui occupaient l’île de Montréal? Certaines découvertes archéologiques fournissent les indices indispensables pour comprendre et décrire leur vie quotidienne.
Depuis les années 1970, les groupes autochtones se mobilisent dans la métropole québécoise pour se rendre visibles les uns aux autres et pour mettre en valeur leur culture.
À l’occasion d’Expo 67, les Premières Nations du Canada font connaître au monde entier leur histoire tragique et leurs difficiles conditions de vie, dans un pavillon qui ne passe pas inaperçu.
Deux belles tours rondes sur la rue Sherbrooke Ouest sont les derniers vestiges d’une grosse mission autochtone située sur le versant sud du mont Royal à la fin du XVIIe siècle.
La courte vie de la mission autochtone de la Nouvelle-Lorette ou quand les autorités coloniales manigancent afin de créer la paroisse du Sault-au-Récollet.