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Photo montrant des vestiges du fort de Senneville

Imaginez un décor forestier, des murs de pierre, vieux de plus de trois siècles, en ruine... Difficile à croire, mais une telle scène existe bel et bien à l’abri des regards sur l’île de Montréal!

Un guerrier autochtone tient une prisonnière en habit européen à l’aide de longues cordes.

Comment, au début du XVIIIe siècle, de jeunes Anglo-Américaines, les sœurs French, se retrouvent-elles à Montréal, alors territoire ennemi?

Photo couleur montrant la Maison Nivard-De Saint-Dizier.

Témoins des premiers établissements français, les alentours de la maison d’Étienne Nivard de Saint-Dizier ont révélé un des principaux sites archéologiques autochtones de l’île de Montréal.

Carte montrant l’emplacement des différentes nations amérindiennes

Qui étaient les Hochelaguiens rencontrés par Jacques Cartier en 1535 sur la future île de Montréal? Iroquoiens du Saint-Laurent, ils faisaient partie d’un vaste ensemble culturel.

Plan de la mission de la montagne en 1694

Deux belles tours rondes sur la rue Sherbrooke Ouest sont les derniers vestiges d’une grosse mission autochtone située sur le versant sud du mont Royal à la fin du XVIIe siècle.

Carte de l’île de Montréal vers 1730

La courte vie de la mission autochtone de la Nouvelle-Lorette ou quand les autorités coloniales manigancent afin de créer la paroisse du Sault-au-Récollet.

Illustration montrant une procession pour les funérailles du chef Huron Kondiaronk qui se rend à l’église Notre-Dame.

La Grande Paix de 1701 doit beaucoup au chef huron Kondiaronk.

Ordonnance concernant l’esclavage au Canada, 13 avril 1709

Oui, certains Montréalais ont réellement possédé des esclaves. On estime à 4000 le nombre de Noirs et d’Autochtones réduits en esclavage en Nouvelle-France puis dans la colonie britannique.