Malgré une histoire parsemée de conflits et de menaces de destruction, le cinéma Rialto est aujourd’hui un des édifices patrimoniaux phares du Mile End.
Le secteur qui deviendra le quartier montréalais du Mile End porte ce nom depuis la première moitié du XIXe siècle. Les habitants l’ont baptisé ainsi pour trois raisons.
L’histoire de l’Institution catholique des Sourds-Muets et de la communauté des sourds à Montréal est intimement liée à celle du quartier du Mile End.
Tanneries et carrières ont fortement marqué l’histoire du Mile End, car elles ont conduit à l’édification d’un premier village, puis à la création de la municipalité de la Côte-Saint-Louis.
L’histoire du Mile End au XXe siècle est étroitement associée à celle de la communauté juive. Deux institutions, aux visées contrastées, y ont profondément laissé leur marque.
Emilia De Minico, une Italo-Montréalaise installée dans le Mile End depuis 1960, nous confie quelques-uns de ses souvenirs d’immigration.
Trois générations de Beaubien ont contribué à modeler le visage actuel du Plateau Mont-Royal. La famille a également joué un rôle essentiel dans la création et le développement d’Outremont.
Parmi les nombreuses familles peuplant le Mile End au début du XXe siècle, celle des sœurs McNulty détonne. C’est en effet Annie, une célibataire de 26 ans, qui dirige la maisonnée.
Deux familles — l’une d’origine anglaise, l’autre d’origine américaine — s’uniront et contribueront largement à modeler le visage du Plateau Mont-Royal, pendant quatre générations.
L’église Saint-Enfant-Jésus du Mile-End est exceptionnelle à plusieurs titres : son architecture, sa décoration, sa qualité de témoin de l’urbanisation et de l’emprise de l’Église sur la société.