Entre légende et histoire, les « Pieds-Noirs » se sont taillé une solide réputation. Ces gaillards, tantôt voyous, tantôt notables, ont toujours été fiers de leurs clans.
Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.
Il faut avoir les reins solides pour persévérer dans les démarches d’immigration! Les exigences gouvernementales sont nombreuses et les aléas de la vie, inévitables. Marta en sait quelque chose…
Manuelita Del Vayo serait la première personne colombienne établie à Montréal. Depuis les années 1930, de nombreux compatriotes l’y ont suivie.
Au XXe siècle, de nombreux Colombiens se sont établis à Montréal, dans des conditions et pour des raisons très diverses. Ils forment aujourd’hui une communauté originale.
Sur l’île Bizard, où se trouvaient les meilleures terres agricoles de la région montréalaise, la production laitière allait de soi. En 1851, les fermes y produisaient 13 020 livres de beurre!
Créée en 1872, la filature de Victor Hudon restera toujours pour les gens de Hochelaga « la Hudon », malgré plusieurs fusions. Il est vrai qu’elle a marqué l’histoire industrielle du quartier.
Premier propriétaire et conducteur d’une automobile à Montréal, il a fait fortune dans un nouveau secteur de l’économie à la fin du XIXe siècle, l’immobilier. Qui est cet homme?
En 1953, le premier contingent d’immigrants portugais arrive au Canada. Ils sont suivis par d’autres, venant du continent, des Açores et de Madère. Plusieurs deviennent Montréalais.
Quelques milliers de personnes venues de la Syrie « historique » sont entrées au Canada avant 1940. Grâce notamment au travail, ces immigrants ont créé des liens sociaux au-delà de leur communauté.