En 1937, Léa Roback réussit à syndicaliser 5 000 ouvrières après une grève féminine d’une ampleur inégalée à Montréal. Sa vie durant, elle s’est dévouée « à la cause des femmes et de l’humanité ».
De 1884 à 1894, Jules Helbronner signe plus de 323 éditoriaux consacrés à la classe ouvrière. Il dénonce les mauvaises conditions de vie et de travail ainsi que la forte dépendance envers le patronat.
Figure montréalaise de l’engagement civique et social, Madeleine Parent a consacré sa vie au militantisme syndical et à la lutte pour les droits des femmes.
Au début du XXe siècle, des milliers de juifs d’Europe de l’Est débarquent à Montréal et sont embauchés dans les usines. Ils apportent des idéaux politiques qui vont marquer les luttes ouvrières.
Au début du XXe siècle, la Canadian Tube & Steel Company, établie à Ville-Émard, contribue à l’essor industriel et résidentiel du quartier.
Comme beaucoup d’Italiens, la famille Di Feo a quitté son pays en quête d’une vie meilleure. Installé à Montréal, Francesco a poursuivi cet idéal en s’engageant dans la lutte syndicale.
Les critiques portées contre la police de Montréal dès les années 1940 culminent lors de l’enquête Caron. La professionnalisation du métier de policier règlera progressivement plusieurs problèmes.
Les conditions de travail des policiers de Montréal s’améliorent dans la première moitié du XXe siècle. La formation et l’équipement se modernisent tandis que les luttes syndicales s’intensifient.
Réalisateur et enseignant, Giovanni Princigalli interroge le professeur d’histoire universitaire, Bruno Ramirez, sur l’orientation politique des immigrants italiens de Montréal.
Au début du XXe siècle au Québec, Christine Cadet, tisserande à la filature Hudon, devient à 21 ans la première femme vice-présidente d’un syndicat du textile