De tout temps, les Montréalais ont affronté les incendies. Dans ce combat, ils ont bénéficié d’avancées techniques, de la professionnalisation de la lutte et d’une volonté accrue de prévention.
En 1944, un avion militaire s’écrase juste au sud du centre-ville de Montréal et ravage une partie de Griffintown. C’est un terrible rappel des horreurs de la guerre qui déchire alors l’Europe.
Le 13 avril 2015, un violent incendie détruit l’église orthodoxe grecque du quartier Parc-Extension. Les paroissiens attristés témoignent de leur attachement à ce lieu de culte.
Ces deux imposantes églises, érigées l’une à côté de l’autre dans la rue du Centre, témoignent de la présence des communautés irlandaise et canadienne-française dans Pointe-Saint-Charles.
En 1927, un incendie cause la mort de 77 enfants dans un cinéma du quartier Hochelaga-Maisonneuve. La tragédie fait réagir le clergé qui veut tenir les jeunes loin des salles de projection.
Avec un bilan de 37 victimes et des dizaines de blessés, l’incendie criminel qui a ravagé le bar le Blue Bird, une institution en 1972, est l’une des pires tragédies survenues à Montréal.
Cléophée Têtu se distingue parmi les religieuses ayant œuvré pour la santé ou l’éducation, car elle a mis sur pied l’Asile Saint-Jean-de-Dieu, qui est devenu une institution montréalaise.
Le 9 septembre 2017 est inauguré le parc Sarah-Maxwell en l’honneur de celle qui, le 26 février 1907, donna sa vie pour sauver les élèves de son école. Son histoire mérite d’être mieux connue.
Ce n’est que depuis 1985 que Montréalais et Montréalaises composent le 911 pour accéder à tous les services d’urgence. Tardif pour plusieurs raisons, ce progrès est cependant certain.
Véritable pastiche des châteaux de la Loire, l’édifice n’a abrité les élus de Saint-Louis que quatre ans, les coûts de sa construction ayant précipité l’annexion de la municipalité à Montréal.