Fraichement arrivé de Belgique, Auguste-Joseph de Bray lance, en 1910, le premier programme universitaire canadien en sciences commerciales. L’École des hautes études commerciales de Montréal est née.
Le Montréal des années 1950 bouillonne de vie culturelle et se colore des milliers d’immigrants arrivés à la suite du conflit mondial. Parmi eux, une femme est décidée à faire danser la métropole.
Des commerces, comme le célèbre restaurant Schwartz’s, représentent les emblèmes visibles d’une communauté dont les contributions sont passées à l’histoire.
Que ce soit par une église aux dômes impressionnants ou par un commerce aux saveurs européennes, la présence des Européens de l’Est à Montréal est visible dans tous les quartiers.
Louis Muhlstock, comme d’autres peintres juifs de Montréal, se consacre longtemps aux petites gens et aux paysages urbains. Artiste de renom, il est exposé au Canada et à l’étranger.
Après des études en art à Florence, Guido Nincheri s’établit à Montréal et devient un décorateur d’églises prestigieux. Ses œuvres magnifiques ornent de nombreux lieux de culte en Amérique du Nord.
Guido Nincheri fabrique des vitraux dans un local du boulevard Pie-IX, dès le milieu des années 1920. Il crée des centaines d’œuvres exceptionnelles dans cet atelier maintenant accessible au public.
Venus d’Europe de l’Est, des artistes juifs peignent Montréal pendant l’entre-deux-guerres. Leur œuvre a annoncé la modernité et nous fait découvrir une page oubliée de l’histoire de la ville.
Au début du XXe siècle, peu de choix d’écoles s’offrent aux milliers d’enfants juifs qui arrivent à Montréal.
La Petite Italie est le cœur de la présence italienne à Montréal. Pourtant, les Italo-Montréalais se sont installés dans tous les quartiers et colorent généreusement le paysage de la ville.