L'encyclopédie est le site du MEM - Centre des mémoires montréalaises

Recherche

Réintialiser la recherche
Affichage 31 à 40 de 45 résultats
Photographie de la résidence clôturée et entourée d'arbres, ainsi que de la voiture en avant-plan.

Personnage haut en couleur de la bourgeoisie francophone montréalaise, Ucal-Henri Dandurand a possédé des édifices à l’image de son statut social ou de ses goûts d’avant-garde.

Façade de l’édifice Saint-Sulpice

Chef-d’œuvre du style Beaux-Arts à Montréal, la Bibliothèque Saint-Sulpice a abrité la Bibliothèque nationale du Québec de 1967 à 2005. Longtemps inoccupée, elle retrouvera son éclat d’antan.

Édifice ayant abrité la fonderie Darling

En 1888, les trois frères Darling tentent leur chance dans un secteur en pleine expansion : la métallurgie. Ils seront bientôt à la tête du plus important complexe industriel de Griffintown.

Carte postale montrant la gare Windsor avant 1914.

La construction de la gare Windsor, en 1887, dote le Canadien Pacifique d’un siège social et d’une gare à la hauteur de la progression exceptionnelle de cette entreprise de chemin de fer.

Photo aérienne de nuit de l’hôtel de ville.

Depuis la constitution en municipalité de la Ville de Montréal en 1832, les élus municipaux rêvaient d’un édifice prestigieux pour remplir la fonction d’hôtel de ville. C’est chose faite en 1872.

Une foule de personnes bavardent et jouent de la musique devant une pyramide du village olympique

Véritable cité dans la ville, le Village olympique a vibré au rythme des Jeux de 1976. Ses pyramides à l’architecture audacieuse sont un souvenir précieux de cet événement marquant.

Vue aérienne du Parc olympique en 1987.

Pour les Jeux de 1976, Montréal a vu grand : au Parc olympique s’ajoutent le village des athlètes et plusieurs autres sites. Mais le symbole fort de cet événement mondial reste le Stade olympique.

Façade de la maison Notman en 1893.

Parmi les magnifiques villas du XIXe siècle qui subsistent à Montréal, figure la maison William-Notman. De style néoclassique, elle fut achevée en 1845 selon les plans de John Wells.

Vue sur les magasins de la rue Sainte-Catherine de jour, avec de nombreux passants et la circulation dans la rue.

Au XIXe siècle, à la faveur de la révolution industrielle et de l’urbanisation, certains commerces de nouveautés se transforment. De simples boutiques, ils deviennent les fameux grands magasins.

Touristes en bateau à vapeur sur le canal de Lachine à la fin du XIXe siècle.

L’industrie touristique montréalaise prend son envol dès l’aube du XIXe siècle. Et déjà, les touristes apprécient les villages autochtones, les rapides de Lachine et les sports d’hiver!