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Un skieur portant le numéro 47 est sur le point de descendre une piste. On voit une douzaine de personnes le long de la piste et des édifices en arrière-plan.

Depuis plus de 100 ans, le secteur du Stade olympique est affecté aux loisirs et aux activités sportives les plus variés. Plusieurs projets ambitieux ont été lancés pour mettre en valeur le site.  

Illustration montrant un homme et une femme marchant sur le trottoir en hiver et longeant des vitrines de grands magasins.

On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.

Photo couleur de la place Jacques-Cartier prise de nuit en hiver avec une mince couche de neige. Des décorations en forme de sapins sont placées en groupe de trois le long de la place. L’enseigne de l’hôtel Nelson est illuminée.

En transition, le Vieux-Montréal des années 1970 attire jeunes et anticonformistes. Sur la place Jacques-Cartier, la salle de spectacle de l’hôtel Nelson est l’un de ses lieux emblématiques.

À l’intérieur d’un grand magasin, enfants et adultes prennent place dans un train miniature de Noël stationné dans une salle décorée.

Innover tout en préservant l’esprit traditionnel du temps des Fêtes, voilà le défi qui se pose aux détaillants montréalais tout au long du XXe siècle.

Photo en noir et blanc d’une vitrine de grand magasin en 1941. On voit un mannequin féminin portant une robe et un turban. Près d’elle, assis sur un imposant trône d’allure orientale, se trouve un musicien tibétain jouant d’un instrument traditionnel.

Modestes ou flamboyantes, les vitrines montréalaises du XXe siècle reflètent l’évolution de notre société et de ses valeurs.

La troupe de Ballet Raíces de Colombia

Le succès de la principale troupe de danse folklorique colombienne de Montréal prouve le rôle déterminant de la culture, du folklore et de la danse dans le rapprochement interculturel.

Jorge Ross et son orchestre, 13 personnes au total, reçoivent un prix

Depuis les années 1960, la musique latino-américaine s’est épanouie à Montréal. Riche de multiples origines, influences et fusions, elle a créé un pont entre les populations immigrantes et d’accueil.

Jeune scout à vélo sur le boulevard Rosemont en 1965.

Les Montréalais adoptent la bicyclette dès la fin du XIXe siècle. Le vélo est ensuite déclassé par le tramway et l’automobile, mais il revient en force 100 ans après son arrivée en Amérique.

Intérieur de la salle vue vers la scène du Cinéma Impérial (rue Bleury).

Au début du XXe siècle, les Montréalais raffolent des « vues animées », malgré les réprimandes du clergé. Cet engouement pour le cinéma ne sera pas étouffé et persistera.

Un orchestre joue à l’extérieur, devant un édifice de pierre, et une foule assise écoute.

Depuis 1924, l’œuvre de la fondation Campbell est un bel exemple de la démocratisation de la musique à Montréal, et de l’influence de la tradition protestante sur ce mouvement.