Depuis plus de 100 ans, le secteur du Stade olympique est affecté aux loisirs et aux activités sportives les plus variés. Plusieurs projets ambitieux ont été lancés pour mettre en valeur le site.
On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.
En transition, le Vieux-Montréal des années 1970 attire jeunes et anticonformistes. Sur la place Jacques-Cartier, la salle de spectacle de l’hôtel Nelson est l’un de ses lieux emblématiques.
Innover tout en préservant l’esprit traditionnel du temps des Fêtes, voilà le défi qui se pose aux détaillants montréalais tout au long du XXe siècle.
Modestes ou flamboyantes, les vitrines montréalaises du XXe siècle reflètent l’évolution de notre société et de ses valeurs.
Le succès de la principale troupe de danse folklorique colombienne de Montréal prouve le rôle déterminant de la culture, du folklore et de la danse dans le rapprochement interculturel.
Depuis les années 1960, la musique latino-américaine s’est épanouie à Montréal. Riche de multiples origines, influences et fusions, elle a créé un pont entre les populations immigrantes et d’accueil.
Les Montréalais adoptent la bicyclette dès la fin du XIXe siècle. Le vélo est ensuite déclassé par le tramway et l’automobile, mais il revient en force 100 ans après son arrivée en Amérique.
Au début du XXe siècle, les Montréalais raffolent des « vues animées », malgré les réprimandes du clergé. Cet engouement pour le cinéma ne sera pas étouffé et persistera.
Depuis 1924, l’œuvre de la fondation Campbell est un bel exemple de la démocratisation de la musique à Montréal, et de l’influence de la tradition protestante sur ce mouvement.