De l’opéra cantonais aux expositions d’art contemporain, la foisonnante histoire de l’art chinois à Montréal.
Après son apogée des années 1940 et 1950, le Montréal festif a progressivement décliné, pour diverses raisons. L’esprit du divertissement est cependant toujours fortement ancré dans la ville.
Vingt ans avant l’avènement de la télévision, c’est devant le meuble radio que les Montréalais se réunissent pour écouter leurs histoires préférées!
À partir des années 1880, de nombreux clubs sportifs et les premiers Carnavals d’hiver offrent de nouveaux divertissements à l’élite bourgeoise montréalaise. Mais ces plaisirs lui sont réservés.
Depuis plus de 100 ans, le secteur du Stade olympique est affecté aux loisirs et aux activités sportives les plus variés. Plusieurs projets ambitieux ont été lancés pour mettre en valeur le site.
En transition, le Vieux-Montréal des années 1970 attire jeunes et anticonformistes. Sur la place Jacques-Cartier, la salle de spectacle de l’hôtel Nelson est l’un de ses lieux emblématiques.
Usines de fabrication, commerces spécialisés, ateliers de réparation… les entreprises liées à la radio se multiplient à Montréal dans le deuxième quart du XXe siècle.
Avant l’essor de la musique préenregistrée, les stations de radio montréalaises s’invitent aux grands concerts et soirées dansantes de la métropole pour diffuser du contenu en direct.
Monsieur Birch était un skieur convaincu et convaincant. À la fin du XIXe, cet immigrant norvégien a effectué le trajet Montréal-Québec sur deux lames de bois, et a ainsi popularisé le ski.
À la fin du XIXe siècle, les divertissements se démocratisent. À un point tel que les manifestations populaires et culturelles font maintenant partie intégrante du paysage estival de Montréal.