Espace de partage culturel et lieu de rencontres intergénérationnelles, le Centre communautaire catholique chinois est un symbole de stabilité au sein du Quartier chinois.
Fondé en 1968, le Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles est depuis au cœur de la vie communautaire du quartier.
À la fin du XIXe siècle, les écoles montréalaises existantes accueillent un nombre croissant d’élèves immigrants. Cependant, des écoles portées par les communautés culturelles voient aussi le jour.
Créées en 1969, les classes d’accueil se déploient après l’adoption de la Charte de la langue française en 1977. Dans les années 2000, elles se multiplient pour répondre à une demande grandissante.
L’histoire de l’école Riverside, autrefois située au sud-est de Pointe-Saint-Charles, est intimement liée à celle des habitants de ce secteur, longtemps tributaire de l’industrie ferroviaire.
Depuis les années 1970, les groupes autochtones se mobilisent dans la métropole québécoise pour se rendre visibles les uns aux autres et pour mettre en valeur leur culture.
Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.
Dans le quartier Milton Parc, les Montréalais reçoivent depuis 1843 divers soins médicaux dans d’autres établissements que l’Hôtel-Dieu, qui ont aussi formé de nombreuses infirmières.
Depuis 1972, le Centre N A Rive aide des immigrants, originaires d’Haïti et d’ailleurs, à s’intégrer à la société montréalaise, en appliquant les principes de l’économie sociale et solidaire.
Créé en 1861, l’Institut Nazareth offre éducation et hébergement aux personnes aveugles de Montréal. Premier établissement de ce type au Canada, il laissera sa marque dans le paysage de la ville.