Tour à tour résidence de gouverneur, de la Compagnie des Indes, de l’armée d’invasion américaine, cour de justice, école, faculté d’université et musée, le Château Ramezay raconte toute une histoire!
Depuis la fin du XIXe siècle, une digue brise-glace retient les inondations printanières et protège le Vieux-Montréal. Fortement réaménagée pour l’Expo 67, elle est alors baptisée Cité du Havre.
Personnage haut en couleur de la bourgeoisie francophone montréalaise, Ucal-Henri Dandurand a possédé des édifices à l’image de son statut social ou de ses goûts d’avant-garde.
En 1888, les trois frères Darling tentent leur chance dans un secteur en pleine expansion : la métallurgie. Ils seront bientôt à la tête du plus important complexe industriel de Griffintown.
La construction de la gare Windsor, en 1887, dote le Canadien Pacifique d’un siège social et d’une gare à la hauteur de la progression exceptionnelle de cette entreprise de chemin de fer.
Depuis la constitution en municipalité de la Ville de Montréal en 1832, les élus municipaux rêvaient d’un édifice prestigieux pour remplir la fonction d’hôtel de ville. C’est chose faite en 1872.
Véritable cité dans la ville, le Village olympique a vibré au rythme des Jeux de 1976. Ses pyramides à l’architecture audacieuse sont un souvenir précieux de cet événement marquant.
Pour les Jeux de 1976, Montréal a vu grand : au Parc olympique s’ajoutent le village des athlètes et plusieurs autres sites. Mais le symbole fort de cet événement mondial reste le Stade olympique.
Parmi les magnifiques villas du XIXe siècle qui subsistent à Montréal, figure la maison William-Notman. De style néoclassique, elle fut achevée en 1845 selon les plans de John Wells.
Longtemps, ce quartier est habité par une population canadienne-française qui travaille dans les manufactures de Montréal. De 1960 à 1963, des centaines de familles vivant dans ce secteur ouvrier doivent déménager.