Fait de papier, mais durable, le « sac à Tousignant » est un souvenir des épiceries de quartier indépendantes du même nom, où les Montréalais ont magasiné de 1916 à 1966.
Ce crochet mural est tout ce qui reste d’un immeuble qui était situé sur le boulevard Dorchester Ouest et qui a été démoli vers la fin de 1968, dans le cadre de l’élargissement du boulevard.
Le Centre d’histoire de Montréal dispose de deux objets représentatifs de la fameuse marque de pâtes montréalaise Catelli.
Le Centre d’histoire possède une maquette du Parc olympique réalisée vers 1975. Abandonnée pendant plusieurs années dans un entrepôt, elle a été sauvée d’un grand ménage par un contremaître avisé.
Placé dans la chapelle dont le balcon servait de potence, le prie-Dieu conservé au Centre d’histoire était l’un des derniers objets utilisés par les condamnés à mort exécutés à la prison de Bordeaux.
Payer ou ne pas payer pour emprunter un pont? Ce débat anime périodiquement l’actualité montréalaise, même si beaucoup de conducteurs contemporains n’ont jamais utilisé, ou même vu, un jeton de péage.
De nombreux bâtiments montréalais possèdent toujours leurs plaques d’adresse émaillées bleu et blanc. Apparues au début du XXe siècle, elles sont aujourd’hui en voie de disparaître.
Ce napperon d’un restaurant très populaire de la rue Sainte-Catherine Ouest a été donné par une famille ontarienne qui ne manquait jamais d’aller manger dans cet établissement lors de ses visites annuelles à Montréal.
Cette émouvante valise contient le trousseau de mariage d’une Italienne venue à Montréal avec ses trois enfants pour y rejoindre son mari et y immigrer.
Le Centre d’histoire possède un uniforme bien original. D’avril à octobre 1967, il a vêtu l’une des élégantes hôtesses du pavillon du Québec à Expo 67.