La fête des Morts, célébrée au Mexique depuis environ 3500 ans, se transporte à Montréal aux mois d’octobre et de novembre 2011.
Peu nombreux à Montréal avant la décennie 1970, les Chiliens s’y établissent en grand nombre à la suite du coup d’État qui frappe leur pays en 1973.
Au début du XXe siècle, l’Afrique est peu connue des Montréalais. C’est à travers les lunettes des missionnaires qu’ils en font la découverte.
Depuis plus de 30 ans, le Club Balattou, bar-spectacle de la rue Saint-Laurent, est un endroit incontournable pour qui s’intéresse aux musiques d’ascendance africaine.
Le succès de la principale troupe de danse folklorique colombienne de Montréal prouve le rôle déterminant de la culture, du folklore et de la danse dans le rapprochement interculturel.
Depuis 2009, l’organisme LatinArte favorise les échanges interculturels entre le public québécois et les artistes latino-américains habitant et travaillant à Montréal.
C’est parce qu’elle a elle-même subi discrimination et exploitation que Faustina Bilotta décide de s’impliquer pour les droits des immigrantes.
Ricordati di noi (Souviens-toi de nous) est le premier volet de la trilogie documentaire homonyme que Paul Tana a consacré à l’immigration italienne à Montréal.
Pour Expo 67, le Québec redéfinit son identité face au monde. Loin d’une vision folklorique de la culture québécoise, le pavillon du Québec présente une nation moderne et tournée vers l’avenir.
Bien qu’il s’agisse d’un petit pays, la présence de Cuba à Expo 67 fait grand bruit. Très fréquenté, le modeste pavillon cubain suscite la controverse et sera même la cible de projets d’attentats.