Avant que ne soit créé un service de police municipal indépendant, la sécurité dans Montréal était assurée par diverses organisations, officielles, mais plus ou moins efficaces.
L’entrée des femmes dans le Service de police de Montréal est effective dès la fin du XIXe siècle. Mais, dès lors, leur pleine acceptation a connu bien des reculs et des avancées.
Au courant des années 1950, le style « pop-polynésien » gagne Montréal. Dans un décor inspiré du Pacifique, le restaurant Kon Tiki offre l’illusion de l’exotisme à ses clients.
Au milieu du XXe siècle, Montréal a déjà établi sa réputation de ville gastronomique. À toute heure, elle peut satisfaire tous les palais et tous les portefeuilles.
Pendant quelques décennies, cabarets, bars, clubs et cafés font partie du paysage montréalais. Locaux et touristes y assistent aux spectacles les plus variés, tandis que l’alcool coule à flots.
Maire de Montréal pendant 17 ans, Houde est connu notamment pour sa détention due à son opposition à l’enregistrement national et pour sa tolérance envers certaines activités illicites.
En vigueur dans les années 1920, la prohibition est à l’origine du monopole étatique en matière d’alcool et de l’institution qui deviendra la Société des alcools du Québec.
Les critiques portées contre la police de Montréal dès les années 1940 culminent lors de l’enquête Caron. La professionnalisation du métier de policier règlera progressivement plusieurs problèmes.
Décédé en 2005 à l’âge de 108 ans, le prêtre Nicholas Salamis, figure emblématique de la communauté grecque de Montréal, a été témoin de son développement pendant près d’un siècle.
Ernest Cormier est un des architectes majeurs du XXe siècle montréalais. Parmi ses œuvres, classiques ou fleurtant avec l’avant-garde, figurent des édifices marquants de la métropole.