Rue Saint-Laurent, lorsque les odeurs de café et de tomates prennent d’assaut vos narines et que les drapeaux vert, blanc, rouge happent votre œil, vous savez être rendu dans la Petite Italie.
Lors de la crise de Saint-Léonard, les Italo-Montréalais se font entendre sur la question de la langue d’enseignement. C’est un épisode marquant de leur intégration au système scolaire.
Des commerces, comme le célèbre restaurant Schwartz’s, représentent les emblèmes visibles d’une communauté dont les contributions sont passées à l’histoire.
Au début du XXe siècle, des milliers de juifs d’Europe de l’Est débarquent à Montréal et sont embauchés dans les usines. Ils apportent des idéaux politiques qui vont marquer les luttes ouvrières.
Au début du XXe siècle, peu de choix d’écoles s’offrent aux milliers d’enfants juifs qui arrivent à Montréal.
Montréal est communément reconnue pour être « la ville aux cent clochers ». Plus que des lieux de culte, plusieurs de ses églises sont souvent le cœur de la vie communautaire immigrante.
Au début du XXe siècle, l’arrivée massive d’immigrants contribue à l’activité économique de la métropole. Certaines initiatives marqueront l’histoire commerciale de Montréal et du Québec.
En 1957, du haut de ses cinq ans, un petit garçon hongrois traverse l’Atlantique en avion avec son frère et ses parents en direction de sa nouvelle maison, Montréal.
Des pyramides de fruits et de légumes frais, des « cannages » à profusion, de la farine, du sucre, des céréales, du thé, du café : on trouve de tout chez Mme I. Steinberg, épicière.
Peut-être êtes-vous déjà entré dans la bâtisse de l’Union française, au coin des rues Viger et Berri? Si tel est le cas, vous pouvez témoigner de l’ambiance chargée d’histoire qui y règne.