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Une professeure enseigne aux élèves de l’école Folk Shule, ou École juive populaire, alors située sur la rue Van Horne.

Au début du XXe siècle, peu de choix d’écoles s’offrent aux milliers d’enfants juifs qui arrivent à Montréal.

Le magasin Fineberg sur la rue Ontario. Deux hommes se tiennent debout devant l'entrée.

Que ce soit par une église aux dômes impressionnants ou par un commerce aux saveurs européennes, la présence des Européens de l’Est à Montréal est visible dans tous les quartiers.

Les acteurs de la pièce de théâtre Ruth réunis devant le Monument national, haut lieu culturel juif au début du XXe siècle.

Des commerces, comme le célèbre restaurant Schwartz’s, représentent les emblèmes visibles d’une communauté dont les contributions sont passées à l’histoire.

Gros plan sur Ludmilla Chririaeff en train de danser.

Le Montréal des années 1950 bouillonne de vie culturelle et se colore des milliers d’immigrants arrivés à la suite du conflit mondial. Parmi eux, une femme est décidée à faire danser la métropole.

Portrait d'Auguste-Joseph de Bray.

Fraichement arrivé de Belgique, Auguste-Joseph de Bray lance, en 1910, le premier programme universitaire canadien en sciences commerciales. L’École des hautes études commerciales de Montréal est née.

La première quincaillerie Pascal située au marché Saint-Laurent.

Au début du XXe siècle, l’arrivée massive d’immigrants contribue à l’activité économique de la métropole. Certaines initiatives marqueront l’histoire commerciale de Montréal et du Québec.

La mère et le père de Charles dans leur demeure de Montréal-Ouest.

En 1957, du haut de ses cinq ans, un petit garçon hongrois traverse l’Atlantique en avion avec son frère et ses parents en direction de sa nouvelle maison, Montréal.

L’une des rares images de l’intérieur du premier magasin Steinberg avec, derrière la caisse à gauche, Ida Steinberg.

Des pyramides de fruits et de légumes frais, des « cannages » à profusion, de la farine, du sucre, des céréales, du thé, du café : on trouve de tout chez Mme I. Steinberg, épicière.

Une foule brandit des drapeaux verts rue Sainte-Catherine en attente du défilé.

En mars, Montréal prend des airs irlandais et se couvre de vert pour le défilé de la Saint-Patrick. Des centaines de milliers de Montréalais s’assemblent pour dire : « Kiss Me, I’m Irish! »

Vitrail du père Dowd dans la basilique de Saint-Patrick

En 1866, un projet de l’évêque de Montréal menace l’intégrité des églises irlandaises catholiques. Le père Patrick Dowd, curé de l’église Saint-Patrick, compte parmi ses plus farouches opposants.