Le tourisme prend son essor à Montréal au début du XXe siècle, mais les acteurs de ce nouveau secteur économique manquent de cohésion. Dès 1919, le Tourist Bureau of Montreal tente d’y remédier.
Le 11 juillet 1940, Conrad Poirier photographie une troupe de théâtre sur les quais du club d’aviron de Lachine. Pour les amateurs de théâtre d’été, les jeunes artistes allègent le climat de guerre.
Datant de la fin du XIXe siècle, les demeures d’inspiration victorienne de la rue May ont disparu en 2015. Car cette ancienne voie a fait place au tout nouveau pont Samuel-De Champlain.
La télégraphie inaugure l’industrie des télécommunications au XIXe siècle, mais l’efficacité de ses messagers dépend d’une autre innovation moderne : le vélo, promis à un grand avenir!
Coulant entre Montréal et Laval, la rivière des Prairies a longtemps été un accès vers le nord et une source d’hydroélectricité. Mais elle a toujours constitué une limite à franchir.
Déposé sur 24 piliers et assemblé par 1,5 million de rivets, le pont Victoria, long de 2,79 km et pesant plus de 9000 tonnes, a été réalisé en cinq ans grâce au labeur de jusqu’à 3000 ouvriers.
Dès la fin du XIXe siècle, le charme de Pointe-Claire attire bien des vacanciers montréalais. Là, ils profitent de clubs de navigation, de terrains de sport, mais aussi, admirent les premiers avions.
Payer ou ne pas payer pour emprunter un pont? Ce débat anime périodiquement l’actualité montréalaise, même si beaucoup de conducteurs contemporains n’ont jamais utilisé, ou même vu, un jeton de péage.
Avec toujours autant d’acuité, le roman de Gabrielle Roy, Bonheur d’occasion, entraîne le lecteur au cœur du quartier Saint-Henri et témoigne de la dureté de la vie des ouvriers d’alors.
Découvrir l’histoire de l’ancienne traverse de Montréal-Nord permet de rencontrer des personnages marquants de ce quartier. La famille L’Archevêque et le docteur Clermont sont de ceux-là.