Premier propriétaire et conducteur d’une automobile à Montréal, il a fait fortune dans un nouveau secteur de l’économie à la fin du XIXe siècle, l’immobilier. Qui est cet homme?
En 1851, le canal de Lachine, premier maillon d’une chaîne de canaux reliant l’océan Atlantique et les Grand Lacs, fait de Montréal la principale porte d’entrée vers l’intérieur du continent.
Jusqu’en 1964, pendant tout l’hiver, les navires ne pouvaient plus rejoindre Montréal, emprisonnée dans la glace. L’arrivée du premier bateau de l’année amorçait alors un véritable retour à la vie.
Au début du XIXe siècle, le modeste port de Montréal est inadapté aux ambitions commerciales de la métropole grandissante. Il sera pourtant le principal port céréalier nord-américain en 1926.
En 1836, la première ligne de chemin de fer au Canada améliore la route Montréal-New York et, au début du XXe siècle, la métropole québécoise est le centre des infrastructures ferroviaires du pays.
Pendant près d’un siècle, le tramway a rythmé les rues montréalaises. Tirés par des chevaux vers 1860, les wagons ont rapidement bénéficié de l’électricité. Ils ont cependant disparu en 1959.
L’industrie touristique montréalaise prend son envol dès l’aube du XIXe siècle. Et déjà, les touristes apprécient les villages amérindiens, les rapides de Lachine et les sports d’hiver!
Depuis la fin du XIXe siècle, une digue brise-glace retient les inondations printanières et protège le Vieux-Montréal. Fortement réaménagée pour l’Expo 67, elle est alors baptisée Cité du Havre.
En ce début du XXIe siècle, environ 35 millions de véhicules traversent annuellement le pont Jacques-Cartier. Et bien d’autres mesures peuvent qualifier cet emblème de Montréal.
La construction de la gare Windsor, en 1887, dote le Canadien Pacifique d’un siège social et d’une gare à la hauteur de la progression exceptionnelle de cette entreprise de chemin de fer.