En septembre 1984, Montréal reçoit un pape en exercice pour la première fois. Le passage de Jean-Paul II est un événement et donne lieu à des festivités marquantes pour les catholiques de la ville.
La communauté irlandaise est peu associée au Mile End. Pourtant, ce quartier lui doit un de ses imposants symboles, l’église St. Michael the Archangel, une des plus singulières de Montréal.
L’histoire du Mile End au XXe siècle est étroitement associée à celle de la communauté juive. Deux institutions, aux visées contrastées, y ont profondément laissé leur marque.
Cléophée Têtu se distingue parmi les religieuses ayant œuvré pour la santé ou l’éducation, car elle a mis sur pied l’Asile Saint-Jean-de-Dieu, qui est devenu une institution montréalaise.
Nombreux à transiter par Montréal au XIXe siècle, les Scandinaves s’y installent aussi peu à peu. Leur présence s’affirme à travers la création d’associations au XXe siècle.
Créées en 1969, les classes d’accueil se déploient après l’adoption de la Charte de la langue française en 1977. Dans les années 2000, elles se multiplient pour répondre à une demande grandissante.
Comment imaginer qu’à l’emplacement actuel de la place du Canada et du square Dorchester se trouvait le cimetière catholique Saint-Antoine, où furent inhumées environ 55 000 personnes?
Le parc Jeanne-Mance, situé à l’est du mont Royal, a porté plusieurs noms et a accueilli de multiples fonctions. Il fait ainsi partie du paysage montréalais depuis fort longtemps.
L’histoire de cette pétillante cabaretière ouvre une fenêtre sur la vie montréalaise à la fin du XVIIe siècle.
La fête des Morts, célébrée au Mexique depuis environ 3500 ans, se transporte à Montréal aux mois d’octobre et de novembre 2011.