Le 16 octobre 1970, en vertu de la Loi sur les mesures de guerre, le gouvernement canadien adopte un règlement draconien. Près de 8000 soldats sont déployés à Montréal.
Réalisateur et enseignant, Giovanni Princigalli interroge le professeur d’histoire universitaire, Bruno Ramirez, sur l’orientation politique des immigrants italiens de Montréal.
Pour briser l’isolement de l’immigration, les Portugais de Montréal se rapprochent et, progressivement, mettent en place des associations structurées qui diffusent leur langue et leur culture.
Dans les années 1960 et 1970, la police de Montréal, qui découvre le terrorisme urbain, crée une section technique pour le combattre. Robert Côté, un des pionniers du désamorçage de bombes témoigne.
En 1937, Léa Roback réussit à syndicaliser 5 000 ouvrières après une grève féminine d’une ampleur inégalée à Montréal. Sa vie durant, elle s’est dévouée « à la cause des femmes et de l’humanité ».
Pour contrer l’épidémie de variole qui sévit à Montréal en 1885, le maire Honoré Beaugrand incite la population à se faire vacciner, mais cette idée suscite appréhensions et polémiques.
Au tournant des XIXe et XXe siècles, Herbert B. Ames fait partie des quelques industriels qui luttent pour améliorer les conditions de vie de la classe ouvrière et amender ainsi toute la société.
Le Montréalais d’origine libanaise Muhammad Saïd Massoud a mené un combat de près de 30 ans pour faire valoir les intérêts des Arabes, notamment ceux des Palestiniens.
Bienvenue au 798, avenue Champagneur. Cet appartement a été la principale résidence montréalaise de la famille Chancy, et certains le nomment la « première Maison d’Haïti ».
On le surnommait « le médecin des pauvres », et une école portait son nom de son vivant. Portrait du docteur Baril qui eut une énorme influence de 1883 à 1913 dans le quartier Hochelaga.