La carrière de Patrice Vilcéus au sein du SPVM a été marquée par des missions délicates et l’obtention de postes de commandement. Durant ces 30 années, il a combattu le racisme dans l’institution.
Devenu le premier policier noir de l’histoire du Québec en 1974, Édouard Anglade a été un leader communautaire à Montréal. Il est un modèle de réussite pour les jeunes Montréalais afrodescendants.
De 1959 à 1984, la police de Montréal assure à nouveau le service d’ambulance. Le transport des patients prend une telle ampleur qu’on dit alors que ses agents sont plus ambulanciers que policiers!
Policier montréalais, Charles-André Latulippe témoigne ici de son expérience au sein de l’originale escouade à ski du mont Royal, une unité qui a aujourd’hui disparu.
Ce n’est que depuis 1985 que Montréalais et Montréalaises composent le 911 pour accéder à tous les services d’urgence. Tardif pour plusieurs raisons, ce progrès est cependant certain.
Louis Cyr, sacré homme le plus fort du Canada en 1886, a été policier dans une ville aujourd’hui intégrée à Montréal. Sous cet uniforme, l’hercule québécois n’a pas connu le succès.
Les conditions de travail des policiers de Montréal s’améliorent dans la première moitié du XXe siècle. La formation et l’équipement se modernisent tandis que les luttes syndicales s’intensifient.
À Montréal, on exerce le métier de policier depuis 1865. Durant les décennies qui ont suivi la création du Département de police, cette activité s’est fortement professionnalisée.
Dans les années 1920, le F.B.I. visite le laboratoire de recherches médicolégales de Montréal, une ressource précieuse pour la police qui utilise les sciences depuis longtemps et avec succès.
De 1880 à 1916, Silas Carpenter a mené une brillante carrière de policier, principalement à Montréal. Son succès est en partie dû à l’arrestation du plus célèbre criminel québécois du XIXe siècle.