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Affiche annonçant l’ouverture officielle des Archives lesbiennes Traces le jeudi 14 avril [1983].

En 1983, quatre Montréalaises organisent un fonds archivistique lesbien. Sous plusieurs formes, leur association militante combattra toujours l’oubli de toutes les histoires des lesbiennes.

Façade de l’édifice Saint-Sulpice

Chef-d’œuvre du style Beaux-Arts à Montréal, la Bibliothèque Saint-Sulpice a abrité la Bibliothèque nationale du Québec de 1967 à 2005. Longtemps inoccupée, elle retrouvera son éclat d’antan.

Une femme aux cheveux gris se tient devant un édifice dont un mur est en briques. Sur ce mur, le dessin d’une maison victorienne a été peint.

La renommée architecte montréalaise Phyllis Lambert est une ardente défenseure du patrimoine et de la démocratie participative. Elle a notamment soutenu les citoyens de Milton Parc.

Cette photo du Quartier chinois a été prise le 25 mars 1968. Elle nous montre les deux langues prédominantes dans le quartier à cette époque, l’anglais et le cantonais.

« L’âme éternelle de la vieille Chine danse, la nuit, dans la ville chinoise de Montréal. » La Revue Moderne évoque ainsi, en 1937, un espace exotique toujours bien connu des Montréalais.

Petit théâtre d’opéra chinois avec neuf figurines

Liée à l’entreprise Wing, à deux édifices patrimoniaux et à la communauté du Quartier chinois, la collection Wings révèle une histoire socioéconomique de Montréal. Mais son avenir est incertain.

Photo couleur montrant un stationnement à l’avant-plan, un édifice abritant les Nouilles Wing au centre et un gratte-ciel à l’arrière-plan.

Dans la plus ancienne manufacture du Quartier chinois de Montréal toujours active, la famille Lee produit des aliments chinois depuis plus de 75 ans, mais elle a débuté dans le secteur en 1897.

Dessin représentant la mission amérindienne du Sault-Saint-Louis dans les années 1670.

Des traces d’occupation humaine datant de 5000 ans jusqu’à la présence des Autochtones dans l’actuelle grande région métropolitaine, voici toute une histoire à raconter. 

Maquettiste travaillant sur la maquette du centre-ville.

Au nom de la modernisation — autoroutes, métro, Expo 67, complexes immobiliers, hôtels, institutions — disparaissent des pans entiers du patrimoine bâti de la métropole dans les années 1950 et 1960.

Statue de l'amiral Horation Nelson au Centre d'histoire de Montréal

Depuis 1809, la colonne Nelson affronte quotidiennement les intempéries et les critiques politiques. Pour certains Montréalais, elle symbolise en effet l’impérialisme britannique du XIXe siècle.

Gérard Beaudet

Gérard Beaudet est professeur d’urbanisme à l’Université de Montréal. Il a été interviewé dans le cadre de l’exposition-documentaire du Centre d’histoire Quartiers disparus.