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Photo noir et blanc d’un rassemblement de femmes dans le gymnase d’une ancienne école.

En 1984, une école du Plateau devient un lieu d’ancrage culturel et politique pour la communauté lesbienne. Cet effervescent laboratoire social appuie ainsi une forme de résistance.

Affiche annonçant l’ouverture officielle des Archives lesbiennes Traces le jeudi 14 avril [1983].

En 1983, quatre Montréalaises organisent un fonds archivistique lesbien. Sous plusieurs formes, leur association militante combattra toujours l’oubli de toutes les histoires des lesbiennes.

Photo couleur d’un spectacle à l’intérieur d’un bar. Une chanteuse se trouve à l’avant, et devant elle, des femmes assises à des tables applaudissent.

Le Plateau-Mont-Royal a vibré au rythme des bars lesbiens dans les années 1980. Une communauté lesbienne dynamique s’y est formée, puis développée, avant d’évoluer vers d’autres secteurs de Montréal.

Photomontage montrant le visage d’une femme souriante, de côté, et l’arrière de sa tête est remplie de photos et de quelques grands titres de journaux liés à sa vie.

Symbole d’entente entre les peuples, Expo 67 attire aussi des contestataires. Parmi eux, Donna Mergler, qui proteste contre la guerre du Vietnam lors du discours du président des États-Unis.

Photographie noir et blanc montrant un couple en maillot de bain à l’avant-plan. Les personnes sont assises sur des serviettes de plage et une radio est posée sur celle de l’homme. On aperçoit des pavillons d’Expo 67 à l’horizon.

Le statut de la femme a fluctué au cours du XXe siècle au gré des événements historiques et des revendications féministes. Expo 67 a lieu à une période clé de cette évolution.

Femme avec des lunettes, regard contemplatif.

Par l’œuvre d’une vie, la fondatrice de l’association Le Chaînon a secouru des générations de Montréalaises dans le besoin. Sa mission se poursuit, selon les valeurs qu’elle a transmises.

Jean Drapeau, le maire de Montréal reçoit les hôtesses du pavillon du Québec à l’hôtel de ville de Montréal pour les remercier et célébrer la fin de l’Expo 67. Monique Michaud se tient en haut à droite, vêtue de sa robe et de son chapeau d'uniforme, une s

Cinquante ans après Expo 67, Monique Michaud et Paule-Andrée Morency, deux amies et anciennes hôtesses du pavillon du Québec, se réunissent et échangent leurs souvenirs.

Une femme aux cheveux gris se tient devant un édifice dont un mur est en briques. Sur ce mur, le dessin d’une maison victorienne a été peint.

La renommée architecte montréalaise Phyllis Lambert est une ardente défenseure du patrimoine et de la démocratie participative. Elle a notamment soutenu les citoyens de Milton Parc.

Un homme d’Église est entouré de deux femmes, une habillée d’un costume et l’autre avec fourrure. Les trois ont un sourire, mais la femme de droite sourit plus amplement en regardant les deux autres.

Depuis neuf décennies, Le Chaînon vient en aide aux femmes les plus démunies. Fondé par Yvonne Maisonneuve, cet organisme montréalais s’appuie toujours sur des principes généreux et humanistes.

Trois femmes, habillées d’un manteau noir et d’un chapeau, se tiennent devant l’entrée d’une maison. Celle qui est à gauche tient un document et celle du milieu une valise.

Considérées comme des missionnaires urbaines, les Associées offrent leur vie à Dieu en prenant soin des femmes. Cet apostolat laïque requiert bien des qualités, dont énergie et désintéressement.