Comment imaginer qu’à l’emplacement actuel de la place du Canada et du square Dorchester se trouvait le cimetière catholique Saint-Antoine, où furent inhumées environ 55 000 personnes?
Payer ou ne pas payer pour emprunter un pont? Ce débat anime périodiquement l’actualité montréalaise, même si beaucoup de conducteurs contemporains n’ont jamais utilisé, ou même vu, un jeton de péage.
Pour des raisons d’hygiène, la Ville de Montréal a construit dans les années 1880 des bains publics destinés aux ouvriers. Ces premières installations étaient rudimentaires et réservées aux hommes.
Chef-d’œuvre de l’ingénierie québécoise, le pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine a permis le franchissement du Saint-Laurent, mais a nécessité la destruction du cœur villageois de Longue-Pointe.
Placé dans la chapelle dont le balcon servait de potence, le prie-Dieu conservé au Centre d’histoire était l’un des derniers objets utilisés par les condamnés à mort exécutés à la prison de Bordeaux.
Pour les Jeux de 1976, Montréal a vu grand : au Parc olympique s’ajoutent le village des athlètes et plusieurs autres sites. Mais le symbole fort de cet événement mondial reste le Stade olympique.
Quelques chiffres et statistiques nous rappellent des éléments marquants des Jeux olympiques de Montréal et révèlent des réalités méconnues.
La construction d’une imposante église dans la rue Saint-Jacques, en 1869, amorce le développement d’une place animée au cœur de Saint-Henri.
Construit en 1904, l’hôtel de ville de Sainte-Cunégonde abrite la première bibliothèque publique de langue française au Canada.
Construit en pleine crise économique, le bain Hogan, ouvert de 1932 à 1991, a marqué la mémoire des habitants de Pointe-Saint-Charles.