Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.
À la fin du XIXe siècle, les écoles montréalaises existantes accueillent un nombre croissant d’élèves immigrants. Cependant, des écoles portées par les communautés culturelles voient aussi le jour.
Pour briser l’isolement de l’immigration, les Portugais de Montréal se rapprochent et, progressivement, mettent en place des associations structurées qui diffusent leur langue et leur culture.
Depuis trois générations, une famille venue du Venezuela fait vivre, à Montréal, la musique folklorique de son pays d’origine. Elle y a fondé des groupes musicaux, mais aussi une école.
Bienvenue au 798, avenue Champagneur. Cet appartement a été la principale résidence montréalaise de la famille Chancy, et certains le nomment la « première Maison d’Haïti ».
Pendant et après la Seconde Guerre mondiale, des intellectuels de l’élite polonaise trouvent refuge au Canada et organisent la vie culturelle polonaise à Montréal. Parmi eux, une femme…
Au début du XXe siècle, les Sœurs Missionnaires de l’Immaculée-Conception tissent des liens avec la Chine. Certaines y résident dès 1909, d’autres se consacrent à la communauté chinoise de Montréal.
Ayant quitté ses Açores natales en 1958, José-Louis Jacome commence une tout autre vie à Montréal. Il a huit ans et découvre l’hiver, l’hostilité, mais aussi la modernité et l’abondance.
Manuelita Del Vayo serait la première personne colombienne établie à Montréal. Depuis les années 1930, de nombreux compatriotes l’y ont suivie.
Créées en 1969, les classes d’accueil se déploient après l’adoption de la Charte de la langue française en 1977. Dans les années 2000, elles se multiplient pour répondre à une demande grandissante.