La fin du XIXe siècle voit l’entrée des Montréalaises à l’université. Plusieurs étapes ont mené à ce succès soutenu par la grande bourgeoisie, notamment les Molson et particulièrement Anne Molson.
En transition, le Vieux-Montréal des années 1970 attire jeunes et anticonformistes. Sur la place Jacques-Cartier, la salle de spectacle de l’hôtel Nelson est l’un de ses lieux emblématiques.
Au début des années 1930, le nouveau gazomètre de la rue du Havre alimente Montréal en gaz artificiel. Il restera en opération jusqu’à la transition au gaz naturel, un quart de siècle plus tard.
On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.
L’hippodrome de la ville de Mont-Royal a longtemps attiré une foule de Montréalais enthousiastes. Le 15 juillet 1939, le photographe Conrad Poirier y a capté de précieuses images de ce monde disparu.
La municipalité Saint-Jean-Baptiste a été intégrée à Montréal, son marché a disparu. Mais le souvenir de cet ancien lieu de commerce et de vie reste dans la mémoire du Plateau Mont-Royal.
De nombreux bâtiments montréalais possèdent toujours leurs plaques d’adresse émaillées bleu et blanc. Apparues au début du XXe siècle, elles sont aujourd’hui en voie de disparaître.
Artistes et architectes montréalais se sont inspirés de l’Égypte ancienne pour créer des monuments funéraires ou commémoratifs comme des pavillons éphémères ou un gratte-ciel pérenne.
L’histoire du Mile End au XXe siècle est étroitement associée à celle de la communauté juive. Deux institutions, aux visées contrastées, y ont profondément laissé leur marque.
Créé dans les années 1920, le Palais des Nains est une des attractions de Montréal qui attirent alors les touristes. Ici, excentricité et divertissement populaire sont de mise!