En 1976, Montréal accueille les 21e Jeux olympiques. Cet événement d’envergure mobilise une foule de travailleurs qui réussissent à tout mettre en place pour accueillir athlètes et visiteurs du monde entier.
Quelques chiffres et statistiques nous rappellent des éléments marquants des Jeux olympiques de Montréal et révèlent des réalités méconnues.
La plupart des Montréalais qui se souviennent du stade De Lorimier ont en tête les matchs de baseball des Royaux, mais ce lieu a accueilli de nombreux évènements, comme un étonnant rodéo en 1946.
La pratique des différentes disciplines olympiques nécessite des lieux spécifiques. En 1976, les compétitions se sont déroulées surtout à Montréal, mais aussi ailleurs au Québec et même en Ontario.
Pour les Jeux de 1976, Montréal a vu grand : au Parc olympique s’ajoutent le village des athlètes et plusieurs autres sites. Mais le symbole fort de cet événement mondial reste le Stade olympique.
Véritable cité dans la ville, le Village olympique a vibré au rythme des Jeux de 1976. Ses pyramides à l’architecture audacieuse sont un souvenir précieux de cet événement marquant.
En 1996, après plus de 70 ans de services, le Forum cesse de vibrer au rythme des matchs de hockey. Ayant marqué l’histoire sportive du Canada, il est reconnu comme lieu historique national en 1997.
L’hippodrome de la ville de Mont-Royal a longtemps attiré une foule de Montréalais enthousiastes. Le 15 juillet 1939, le photographe Conrad Poirier y a capté de précieuses images de ce monde disparu.
Une grande fête de quartier est lancée en 1958 à Côte-Saint-Paul : on vient d’annoncer la construction d’un nouveau centre de loisirs, qui animera ce quartier du Sud-Ouest de Montréal.
Le bain Émard est inauguré en 1914, quelques années après l’annexion des quartiers Émard et Saint-Paul à la Ville de Montréal.