Avocat, militaire, politicien et surtout leader des rébellions de 1837 et 1838, Louis-Joseph Papineau a marqué l’histoire du Canada. À Montréal, sa maison témoigne d’une époque et d’un personnage.
Le 1er août 1834, dans le port de Montréal, on célèbre la mise en vigueur de la Loi de l’abolition de l’esclavage dans les colonies britanniques. On trinque à la santé de l’Empire!
Le 16 octobre 1970, en vertu de la Loi sur les mesures de guerre, le gouvernement canadien adopte un règlement draconien. Près de 8000 soldats sont déployés à Montréal.
Dans les années 1930, deux activistes montréalaises sont à la tête de nouvelles émissions radiophoniques consacrées aux droits des femmes. Leur message est entendu aux quatre coins de la province!
Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.
En vigueur dans les années 1920, la prohibition est à l’origine du monopole étatique en matière d’alcool et de l’institution qui deviendra la Société des alcools du Québec.
En 1908 et 1916, la découverte et le démantèlement de clubs privés voués à des activités homosexuelles ébranlent Montréal. Ce scandale a une forte résonnance dans la presse et marque les esprits.
Criminalisés et réprimés dès la colonisation, les rapports homosexuels sont cantonnés à l’espace privé. Vers 1900, divers lieux de drague homosexuelle, parfois très fréquentés, émergent à Montréal.
Placé dans la chapelle dont le balcon servait de potence, le prie-Dieu conservé au Centre d’histoire était l’un des derniers objets utilisés par les condamnés à mort exécutés à la prison de Bordeaux.
Poète, visionnaire, activiste, « vélorutionnaire », « bikeshevist »… Les qualificatifs ne manquent pas pour tenter de définir le cofondateur du groupe militant le Monde à Bicyclette.