En transition, le Vieux-Montréal des années 1970 attire jeunes et anticonformistes. Sur la place Jacques-Cartier, la salle de spectacle de l’hôtel Nelson est l’un de ses lieux emblématiques.
Les Italiens de Montréal ont inventé un argot qui leur est propre. Une étude sociolinguistique explore ses liens avec plusieurs langues et dialectes, et souligne ses étonnantes spécificités.
Ancienne chapelle du collège Sainte-Marie, lieu de prière, de pèlerinage, d’art et de théâtre, le Gesù est aussi le dernier vestige témoignant de la présence jésuite au centre-ville de Montréal.
L’industrie touristique montréalaise prend son envol dès l’aube du XIXe siècle. Et déjà, les touristes apprécient les villages autochtones, les rapides de Lachine et les sports d’hiver!
De l’opéra cantonais aux expositions d’art contemporain, la foisonnante histoire de l’art chinois à Montréal.
Depuis les années 1970, les groupes autochtones se mobilisent dans la métropole québécoise pour se rendre visibles les uns aux autres et pour mettre en valeur leur culture.
Dès sa construction en 1928, le cinéma Empress Theatre se distingue par son style inspiré de l’Égypte ancienne. Malgré les outrages du temps et son abandon, il se démarque toujours.
L’élite montréalaise du XIXe siècle forme de nombreuses sociétés savantes pour favoriser la science et la culture. L’une d’entre elles lutte déjà pour préserver le patrimoine montréalais.
Pour briser l’isolement de l’immigration, les Portugais de Montréal se rapprochent et, progressivement, mettent en place des associations structurées qui diffusent leur langue et leur culture.
Le Montréal des années 1950 bouillonne de vie culturelle et se colore des milliers d’immigrants arrivés à la suite du conflit mondial. Parmi eux, une femme est décidée à faire danser la métropole.