Venus d’Europe de l’Est, des artistes juifs peignent Montréal pendant l’entre-deux-guerres. Leur œuvre a annoncé la modernité et nous fait découvrir une page oubliée de l’histoire de la ville.
Le Montréal des années 1950 bouillonne de vie culturelle et se colore des milliers d’immigrants arrivés à la suite du conflit mondial. Parmi eux, une femme est décidée à faire danser la métropole.
Le thème Terre des Hommes donnait un sens profondément humaniste à l’Exposition de Montréal. Il invitait l’humanité à réfléchir sur son futur et surtout sur son rôle dans ce futur.
Disparu trop tôt, Robert Gravel, comédien hors du commun, a contribué à l’évolution de la pratique théâtrale au Québec et a cocréé la Ligue Nationale d’Improvisation.
Fondé au XIXe siècle par huit musiciennes, ce club anglophone était réservé aux femmes. Toujours actif, il attire aujourd’hui les amateurs de musique classique sans distinction de langue ou de sexe.
L’élite montréalaise du XIXe siècle forme de nombreuses sociétés savantes pour favoriser la science et la culture. L’une d’entre elles lutte déjà pour préserver le patrimoine montréalais.
Meilleur directeur de théâtre canadien-français du début du XXe siècle, Georges Gauvreau se consacra à cette œuvre culturelle et au développement du cinéma au Québec.