Construite après les expulsions des années 1970, la tour résidentielle surnommée « la Plaza chinoise » témoigne des luttes pour le logement qui ont animé le Quartier chinois au début du XXe siècle.
Au XIXe siècle, aucun canal ou chemin de fer nord-américain ne se bâtit sans manœuvres irlandais. Pourtant, en 1843, 1300 ouvriers irlandais lancent une des premières grèves de l’histoire du Canada.
Montréal n’est pas épargné par les conflits de travail qui, de 1918 à 1921, marquent l’Amérique du Nord. En décembre 1918, quatre syndicats d’employés municipaux votent une grève qui sera historique.
Le soir du 25 avril 1849, de fortes têtes entrent dans le parlement et y mettent le feu. Les députés se hâtent de sortir et on tente de sauver les archives et les livres. Le feu prend de l’ampleur…
En 1833, 42 Montréalais élisent, indirectement, le premier maire de la ville, Jacques Viger. C’est la naissance de la politique municipale et l’entrée d’un homme dans l’histoire de Montréal.
En 1967, Judy Rebick, jeune étudiante, héberge deux groupes de rock emblématiques de la contreculture. Invités à visiter l’Exposition de Montréal, ils s’en désintéressent complètement.
Bien plus qu’un tavernier haut en couleur, Charles McKiernan fut une figure des luttes sociales à Montréal. Poète et philanthrope, il a notamment soutenu les grévistes du canal de Lachine en 1877.
Né au Haut-Canada en 1798, Allan Napier MacNab est considéré à juste titre comme un tory pur et dur. Il mène une carrière politique houleuse, ponctuée de discours enflammés et d’échanges musclés.
Avocat, militaire, politicien et surtout leader des rébellions de 1837 et 1838, Louis-Joseph Papineau a marqué l’histoire du Canada. À Montréal, sa maison témoigne d’une époque et d’un personnage.
Bienvenue au 798, avenue Champagneur. Cet appartement a été la principale résidence montréalaise de la famille Chancy, et certains le nomment la « première Maison d’Haïti ».