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Une fillette assise dans un escalier, tête penchée vers l’avant, coudes sur les genoux et mains devant les yeux. Devant elle, une femme est assise plus bas, regard tourné vers l’enfant et main posée sur les genoux de la fillette.

De 1947 à 1967, l’Institut Notre-Dame-de-la-Protection, ancêtre du Chaînon, a servi de foyer à de nombreuses fillettes et jeunes filles. Les Associées prenaient alors le rôle de maman.

Carte postale colorisée montrant une rue avec un homme au centre, bordée d’arbres et d’édifices.

Dans le quartier Milton Parc, les Montréalais reçoivent depuis 1843 divers soins médicaux dans d’autres établissements que l’Hôtel-Dieu, qui ont aussi formé de nombreuses infirmières.

Membres de l’Associação Portuguesa do Canada (APC) en 1966

Pour briser l’isolement de l’immigration, les Portugais de Montréal se rapprochent et, progressivement, mettent en place des associations structurées qui diffusent leur langue et leur culture.

Une trentaine de personnes sont assises sur des chaises en cercle dans une grande salle.

Depuis les années 1970, les groupes autochtones se mobilisent dans la métropole québécoise pour se rendre visibles les uns aux autres et pour mettre en valeur leur culture.

Quatre hommes et quatre femmes sont assis autour d’une table carrée sur laquelle se trouvent des feuilles de papier et des crayons.

Fondé en 1968, le Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles est depuis au cœur de la vie communautaire du quartier.

Dix-sept personnes sont assises en cercle, à l’extérieur, sur des chaises pliantes. Une femme ouvre un sac-cadeau.

Depuis 1972, le Centre N A Rive aide des immigrants, originaires d’Haïti et d’ailleurs, à s’intégrer à la société montréalaise, en appliquant les principes de l’économie sociale et solidaire.

Quatre femmes souriantes sont assises à des tables dans une classe.

Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.

Portrait en plan poitrine d’un homme qui regarde de biais. Il porte moustache et barbichette.

On le surnommait « le médecin des pauvres », et une école portait son nom de son vivant. Portrait du docteur Baril qui eut une énorme influence de 1883 à 1913 dans le quartier Hochelaga.

Carte postale montrant le bâtiment de l’école Riverside

L’histoire de l’école Riverside, autrefois située au sud-est de Pointe-Saint-Charles, est intimement liée à celle des habitants de ce secteur, longtemps tributaire de l’industrie ferroviaire.

Photographie de Marie Gérin-Lajoie diplômée en 1911

Pour le droit de suffrage féminin, l’accès à l’éducation ou l’amélioration des conditions de travail, Marie Gérin-Lajoie tente de réformer la société, et lutte en faveur d’un monde plus juste.