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Façade du Sabor Latino. On voit plusieurs voitures stationnées et des gens devant.

Proposant des aliments aux accents latino-américains, l’épicerie Los Andes, rebaptisée Sabor Latino, se trouve au cœur d’un secteur de Montréal surnommé la Petite Amérique latine.

Photo en noir et blanc de trois adolescents dans la cour arrière de la maison familiale.

Comment vivre les transformations et tensions de l’adolescence entre Révolution tranquille et traditions açoriennes? José-Louis Jacome raconte son intégration à sa nouvelle vie montréalaise.

La famille DiLallo pose dans le commerce familial. Il y a le père, la mère et six enfants.

La famille Di Lallo a rendu bien des services à Ville-Émard, son quartier d’adoption. Ces immigrants italiens y ont créé, entre autres, un fameux restaurant et une équipe de hockey de renom.

Épicerie italienne sur la rue Saint-Zotique, avec une voiture à cheval devant.

Qu’ils soient ouvriers saisonniers ou permanents, les immigrants italiens du début du XXe siècle ont besoin d’un logement transitoire, le temps de bâtir leurs assises à Montréal.

Photo couleur d’une femme et d’un homme se tenant debout collés l’un contre l’autre devant un édifice dans le quartier chinois.

Arrivés à Montréal en 1993, Ju Ming Zhou et Hui Qing Liang poursuivent la tradition familiale en ouvrant un commerce spécialisé dans les pâtisseries de Guangzhou.

Un homme et une femme, derrière le comptoir d’un restaurant.

En 1979, trois immigrants libanais arrivés depuis peu à Montréal y ouvrent une modeste épicerie orientale. Quelques années plus tôt, un restaurant libanais avait été établi sur la même rue.

L’une des rares images de l’intérieur du premier magasin Steinberg avec, derrière la caisse à gauche, Ida Steinberg.

Des pyramides de fruits et de légumes frais, des « cannages » à profusion, de la farine, du sucre, des céréales, du thé, du café : on trouve de tout chez Mme I. Steinberg, épicière.

Photo en noir et blanc en gros plan d’un homme portant la moustache.

Au début du XXe siècle, Carlos d’Alcantara immigre par amour à Montréal, où il concrétise son rêve d’horticulture. Aujourd’hui, ses descendants entretiennent toujours la tradition familiale.