En 1927, un incendie cause la mort de 77 enfants dans un cinéma du quartier Hochelaga-Maisonneuve. La tragédie fait réagir le clergé qui veut tenir les jeunes loin des salles de projection.
Ces deux imposantes églises, érigées l’une à côté de l’autre dans la rue du Centre, témoignent de la présence des communautés irlandaise et canadienne-française dans Pointe-Saint-Charles.
Condamnée pour incendiat, Angélique était une esclave noire, arrivée à Montréal en 1729. Les documents du procès dévoilent certains pans de la vie de cette jeune femme, révoltée ou bouc émissaire.
En 1734, l’esclave Angélique est accusée d’avoir incendié Montréal. Les documents d’archives permettent de reconstituer son procès et son exécution. Ils laissent cependant planer de nombreux doutes.
Deux belles tours rondes sur la rue Sherbrooke Ouest sont les derniers vestiges d’une grosse mission autochtone située sur le versant sud du mont Royal à la fin du XVIIe siècle.
Ce n’est que depuis 1985 que Montréalais et Montréalaises composent le 911 pour accéder à tous les services d’urgence. Tardif pour plusieurs raisons, ce progrès est cependant certain.
Contacter les pompiers rapidement n’était pas chose facile avant l’invention du téléphone. L’apparition de la boîte d’alarme à Montréal, en 1863, constitue une véritable révolution.
Le 9 septembre 2017 est inauguré le parc Sarah-Maxwell en l’honneur de celle qui, le 26 février 1907, donna sa vie pour sauver les élèves de son école. Son histoire mérite d’être mieux connue.
Le soir du 25 avril 1849, de fortes têtes entrent dans le parlement et y mettent le feu. Les députés se hâtent de sortir et on tente de sauver les archives et les livres. Le feu prend de l’ampleur…
De tout temps, les Montréalais ont affronté les incendies. Dans ce combat, ils ont bénéficié d’avancées techniques, de la professionnalisation de la lutte et d’une volonté accrue de prévention.