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Pierre tombale d’Edith Maud Eaton, cimetière Mont-Royal

Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.

Photo en couleurs d’une femme noire portant des lunettes et prenant la pose.

Reine des claquettes, danseuse et chanteuse, Ethel Bruneau conquiert dès les années 1950 la scène montréalaise, où elle côtoie les plus grands artistes. Son aura nimbe encore le monde des claquettes.

Une vue en noir et blanc de l’intérieur d’un bar. En haut à gauche, un portrait de Rufus Rockhead.

Dans les années 1930 et 1940, le Rockhead’s Paradise a connu une popularité folle. Son fondateur, Rufus Rockhead, a été le premier propriétaire noir d’un club à Montréal.

Une cinquantaine d’élèves accompagnés de parents font un pique-nique à l’extérieur.

À la fin du XIXe siècle, les écoles montréalaises existantes accueillent un nombre croissant d’élèves immigrants. Cependant, des écoles portées par les communautés culturelles voient aussi le jour.

Photo de Joe Trouillot souriant et portant chapeau et cravate.

Une voix de crooner, un modèle de vigueur et d’élégance sur scène, ainsi se souvient-on de Joe Trouillot, ce grand homme de spectacle qui a fait danser les foules de Port-au-Prince à Montréal.

Groupe d'une trentaine de personnes prenant la pose pour une photo.

Nombreux à transiter par Montréal au XIXe siècle, les Scandinaves s’y installent aussi peu à peu. Leur présence s’affirme à travers la création d’associations au XXe siècle.

Quinze élèves se tiennent debout, en file. En arrière plan, une enseignante et des élèves.

Créées en 1969, les classes d’accueil se déploient après l’adoption de la Charte de la langue française en 1977. Dans les années 2000, elles se multiplient pour répondre à une demande grandissante.

Foule qui célèbre dans le Quartier chinois. On peut lire sur une banderole "V-J Day celebration by the Chinese community of Montreal".

Au XXe siècle, trois partis politiques organisent la communauté sino-montréalaise. Ils maintiennent aussi un lien avec la mère patrie et favorisent la solidarité entre les Chinois de Montréal.

Le 2 septembre 1945, le défilé de la Victoire parade sur la rue De La Gauchetière Ouest dans le Chinatown. En avant-plan, un petit garçon porte une pancarte de l’association Chinese Free Mason.

En 1945, les Chinois de Montréal organisent un grand défilé célébrant la fin de la guerre. Toute la population de la ville est conviée à des festivités pittoresques et d’envergure.

Les trois fondateurs des Monarques de Montréal et leur fils respectif.

One two team! One two Monarques! One two sans pression! Le cri d’équipe des Monarques de Montréal résonne dans les terrains de basketball de la province depuis 1998.