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Des hommes, certains avec des appareils photo, se tiennent à droite de l’image et regardent deux autres hommes déplacer un gros baril. Le reste de la pièce est rempli de barils.

Dès les années 1920, le contraste entre les règlementations québécoise et américaine en matière d’alcool vitalise l’économie de Montréal, mais aussi les trafics illicites et le crime organisé.

Cinq jeunes hommes sont assis dans un bar autour d’une petite table remplie de bouteilles et de verres.

Au milieu du XXe siècle, dans une relative discrétion, gais et lesbiennes fréquentent des établissements nocturnes où ils peuvent un peu plus ouvertement se rencontrer, se divertir et s’affirmer, prélude à la revendication de leurs droi

Dans un bar, un chanteur et guitariste joue pour des personnes attablées.

De 1940 à 1960, sortir à Montréal n’est pas banal, car toutes les grandes stars européennes et américaines s’y produisent, et les autorités sont peu regardantes quant aux mœurs et au couvre-feu.

Photo couleur de la rue Sainte-Catherine la nuit avec des enseignes au néon et des voitures au premier plan.

En tant que cité du divertissement, Montréal est à son apogée de 1940 à 1960. Toute une économie des plaisirs nocturnes pour adultes s’y développe alors.

Oscar Peterson au piano en duo avec Johnny Holmes à la trompette

À partir des années 1920, Montréal a vécu à l’heure du jazz. La Petite-Bourgogne, alors surnommée le « Harlem du Nord », lui a donné des salles et des musiciens de renommée internationale.

Seize personnes sont réunies autour d’une plusieurs tables disposées en rectangle.

Experts de la consultation publique, les commissaires de l’OCPM apportent une contribution significative à la démocratie montréalaise.