Un documentaire du Centre d’histoire et du Collectif des femmes immigrantes du Québec met en vedette des femmes porteuses d’un organisme fédérateur et de leur intégration à la société montréalaise.
Née en Macédoine en 1932, Vasilka immigre au Québec en 1968. Son histoire, qui croise la grande histoire et révèle une facette de l’immigration vers Montréal, a été le sujet d’un film souvenir.
Deuxième volet de la trilogie Ricordati di noi (Souviens-toi de nous), le documentaire Marguerita narre l’histoire de la plus ancienne boulangerie italo-montréalaise.
Le film de Giovanni Princigalli (Ho fatto il mio coraggio) a été salué par plusieurs prix. Dans une approche informée et humaine, le documentariste y présente un aspect singulier de l’immigration italienne à Montréal.
Trente ans après l’adoption de la Charte de la langue française, le documentaire Les enfants de la loi 101 suit une génération à travers ses années de formation en français.
Le documentaire Le figuier, troisième volet de la série Ricordati di noi, décrit la culture de cet arbre méditerranéen pratiquée avec ingéniosité et patience par les Italo-Montréalais.
Au travers de trois témoignages, le documentaire Jours meilleurs révèle différentes facettes de l’immigration de jeunes Italiens à Montréal.
Peu professionnels, mal formés, mal payés, les policiers montréalais franchissent trop souvent la ligne séparant légalité et illégalité. Dès le milieu du XXe siècle, les critiques fusent.
Au XXe siècle, à Montréal comme partout en Amérique du Nord, les maisons de prostitution sont confinées dans un quartier. Cependant, ce « mal nécessaire » y florira bien plus longtemps qu’ailleurs.
Implanté dans les communautés culturelles et lié à la pègre internationale, le crime organisé montréalais s’impose dans toutes les activités illégales. Il corrompt aussi le monde légal et politique.









