Photographies anciennes et souvenirs familiaux nous emmènent à Lachine au courant du XXe siècle. La vie de certains habitants y était rythmée par le fleuve, mais aussi par le sens des affaires.
Le 11 juillet 1940, Conrad Poirier photographie une troupe de théâtre sur les quais du club d’aviron de Lachine. Pour les amateurs de théâtre d’été, les jeunes artistes allègent le climat de guerre.
La télégraphie inaugure l’industrie des télécommunications au XIXe siècle, mais l’efficacité de ses messagers dépend d’une autre innovation moderne : le vélo, promis à un grand avenir!
Les premiers immigrants açoriens sont arrivés à Montréal en 1953 et 1954. Les témoignages de ces pionniers livrent les raisons du départ, les conditions du voyage, les difficultés de l’arrivée.
Jusqu’en 1964, pendant tout l’hiver, les navires ne pouvaient plus rejoindre Montréal, emprisonnée dans la glace. L’arrivée du premier bateau de l’année amorçait alors un véritable retour à la vie.
L’industrie touristique montréalaise prend son envol dès l’aube du XIXe siècle. Et déjà, les touristes apprécient les villages amérindiens, les rapides de Lachine et les sports d’hiver!
À la fin du XIXe siècle, le fleuve gelé en hiver sur toute sa largeur force au chômage les débardeurs du port de Montréal. Cependant, des hommes s’activent au milieu de cette « banquise » d’eau douce.
Les Montréalais adoptent la bicyclette dès la fin du XIXe siècle. Le vélo est ensuite déclassé par le tramway et l’automobile, mais il revient en force 100 ans après son arrivée en Amérique.
Dès la fin du XIXe siècle, le charme de Pointe-Claire attire bien des vacanciers montréalais. Là, ils profitent de clubs de navigation, de terrains de sport, mais aussi, admirent les premiers avions.
Découvrir l’histoire de l’ancienne traverse de Montréal-Nord permet de rencontrer des personnages marquants de ce quartier. La famille L’Archevêque et le docteur Clermont sont de ceux-là.